Anne Dewailly

Née à Roubaix en 1964, Anne Dewailly est une peintre française, spécialiste du portrait et de la scène de genre.
Non moins fiers de la représenter désormais, son talent a déjà séduit hors de nos frontières, que ce soit en Europe, aux Etats-Unis ou au Moyen-Orient.

Pourtant sans formation académique, sa technique picturale parvient à nous faire ressentir de puissantes émotions. Pinceau, chiffon, couteau, doigts, la variété des moyens engagés est d’égale importance. Sa peinture, à l’huile, est la sincère expression d’une passion pour les maîtres néerlandais du Siècle d’Or, le Gulden/Gouden Eeuw.

Née à Roubaix en 1964, Anne Dewailly est une peintre française, spécialiste du portrait et de la scène de genre.
Non moins fiers de la représenter désormais, son talent a déjà séduit hors de nos frontières, que ce soit en Europe, aux Etats-Unis ou au Moyen-Orient.

Pourtant sans formation académique, sa technique picturale parvient à nous faire ressentir de puissantes émotions. Pinceau, chiffon, couteau, doigts, la variété des moyens engagés est d’égale importance. Sa peinture, à l’huile, est la sincère expression d’une passion pour les maîtres néerlandais du Siècle d’Or, le Gulden/Gouden Eeuw.

Elle cherche à mêler la part de réalisme de la tronie – son acception originelle est entendue – et l’idéalisme de certains tel Vermeer. Femmes, hommes ou enfants, lorsque ses modèles ne sont pas des proches, elle les rencontre inopinément, c’est sa véritable galerie.

En admiratrice de Vermeer, le jeu du clair-obscur est essentiel dans l’œuvre d’Anne Dewailly. Son travail mimétique, favorisé par l’huile, essaie toujours de trouver l’équilibre entre les sources de lumière.
La lumière parle et le silence du sujet n’en est que moins pesant. Variant d’intensité, lumière et contours se diffusent toujours, et l’âme semble s’envoler à la persistance du regard spectateur. En fait, le sujet l’émet autant qu’il la reçoit, baigné d’un halo, jouant le rôle du Charon psychopompe. L’entreprise du rendu sur les peaux les détachent de ce monde. Pour Anne, les visages, les corps, doivent être baignés d’une lumière douce et tranquille, qui exalte exalte leur modèle, bien davantage que la pose ou le regard.